Aux premiers jours des manifestations autour du Parlement, les forces sp�ciales - form�es par les Etats-Unis - avaient �t� rappel�es des gorges du Pankissi, � la fronti�re de la Tch�tch�nie, pour se rendre dans les faubourgs de la capitale. En outre, des centaines de CRS �taient d�ploy�s autour de l'assembl�e. Mais, le 21 novembre, M. Tedo Djaparidze, chef de la s�curit� nationale, d�clarait que � la s�curit� de la G�orgie avait �t� secou�e � et demandait � un certain compromis lors du processus �lectoral �. Le lendemain, au moment o� de gigantesques manifestations se regroupaient place de la Libert� pour se diriger vers le Parlement, les forces arm�es n'ont pas r�sist�. Leur neutralit� a conduit � la chute de M. Chevardnadze. Washington a-t-il fait pression sur elles pour qu'elles ne repoussent pas les manifestants ?
Au printemps 1992, M. Chevardnadze faisait son retour en G�orgie. Nombre d'observateurs pensaient qu'il y apporterait un renouveau de l'influence russe dans le Caucase. En quelques mois, il devint pourtant le meilleur alli� de Washington dans la r�gion. Apr�s le 11 septembre 2001, les forces sp�ciales am�ricaines lui fournirent une protection et form�rent l'arm�e g�orgienne. Les r�cents �v�nements peuvent-ils mener � un durcissement de l'incessant bras de fer entre Russes et Am�ricains pour le contr�le de ces terres eurasiennes, ou permettront-ils au contraire � la G�orgie de trouver enfin une certaine stabilit�, apr�s des ann�es de troubles ?
Since independence from the old Socviet Union, there's been a remarkable tendency in CIS nations for domestic instability to rise whenever the government opposes Moscow. Georgia did not join the CIS at first and paid for that with the Ossetian and Abkhazian risings. CIS governments trying to get out of the Russian embrace have turned, as Shevardnadze did, to the US.
If Vicken Cheterian's claim of an iron hug between the US and Russia proves right then CIS leaders pursuing genuine independence have nowhere to go.
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